Vous êtes un professionnel et vous avez besoin d’un vidéoprojecteur pour vos réunions ? Ou bien vous souhaitez pimenter vos soirées cinéma chez vous en vous offrant un écran beaucoup plus grand pour le budget d’un téléviseur ? Mais pour cela vous avez besoin de quelques éléments pour faire votre choix et mieux comprendre les caractéristiques de ces appareils… Vous êtes au bon endroit. Offrons-nous un petit tour d’horizon des principales caractéristiques…
Si vous avez déjà eu l’occasion de vous renseigner pour l’acquisition d’un téléviseur, vous allez voir que nous allons ici tout naturellement retrouver des éléments de comparaison techniques identiques. Et c’est tout à fait normal puisque la finalité de ces deux types d’appareils est bien identique à savoir afficher une image. Commençons par la première que vous connaissez certainement, la résolution de l’image.
La résolution maximale
La résolution de l’image correspond au nombre de pixels, de points qui composent l’image (consultez notre article La PAO pour en savoir plus sur les images matricielles composées de pixels). Bien évidemment plus elle est élevée, plus votre image est précise et offre un rendu détaillé. Parmi les plus connues, on comptera la résolution DVD (480p), la HD (720p), le Full HD (1080p) et apparue depuis quelques années la 4K (2160p). Nous voyons même arriver sur le marché cette année des téléviseurs à la résolution 8K (4320p) dont l’upscaling, la conversion de votre image de résolutions plus basses vers la 8K, indispensable car les sources natives en 8K ne sont encore que très rares, est géré par l’intelligence artificielle (consultez notre article L’intelligence artificielle pour en savoir plus). Les prix sont malheureusement encore bien inaccessibles pour le commun des mortels à l’image du Samsung QE98Q950R (consulter la page produit sur le site de Samsung). Mais revenons à notre sujet…
Nous n’allons pas nous intéresser à cette dernière résolution d’image, encore trop marginale, pour nous concentrer sur les résolutions les plus courantes actuellement à savoir le Full HD (1080p) et l’Ultra HD 4K (2160p). Vous ne trouvez ici entre parenthèses que le nombre de lignes verticales distinctes qui composent votre image car le nombre de lignes horizontales, c’est-à-dire celles qui représentent la largeur de votre image, dépend du format de cette dernière. À titre d’exemple, le plus courant étant le 16:9 cela nous donne donc généralement une résolution globale de 1920x1080p pour le Full HD et 3840x2160p pour l’Ultra HD 4K.
Les projecteurs portables d’entrée de gamme proposent aujourd’hui une résolution de 480p appelée WVGA. Les seuls points positifs de ces appareils sont leur poids et leurs dimensions. Transportables dans une sacoche, ils permettent d’emmener partout un outil de projection. Malheureusement ces résolutions sont trop faibles pour proposer des images d’une qualité agréable et ne peuvent convenir que dans ce besoin précis de transportabilité. Ils peuvent néanmoins être suffisants pour projeter un diaporama à un petit auditoire mais se retrouvent souvent confrontés à un autre problème qui est leur faible luminosité que nous verrons dans le point suivant.
Si vous n’avez pas besoin de cette transportabilité, vous trouvez aisément des vidéoprojecteurs dans un format plus classique à l’image de ceux que l’on rencontre dans la plupart des salles de réunion. Nombre d’entre eux offrent une résolution Full HD (1080p) et ce aux tarifs les plus bas. Nous vous invitons donc à privilégier au minimum cette résolution afin de projeter avec un bon niveau de fidélité vos présentations illustrées ou même vos films dans le cadre d’un usage personnel. Si vous pouvez vous le permettre, le choix de d’un appareil prenant en charge la résolution Ultra HD 4K reste l’idéal et vous permettra de projeter les contenus natifs les plus fidèles. Cette résolution est cependant plutôt adaptée aux cinéphiles qui veulent pouvoir profiter au mieux des vidéos 4K disponibles en ligne ou des Blu-ray 4K (consultez notre article Les supports optiques pour en savoir plus) que l’on trouve aujourd’hui en grand nombre dans le commerce.
La luminosité et la lampe
Intéressons-nous maintenant au deuxième aspect sur lequel il faut se pencher lorsque l’on achète un projecteur : sa luminosité. Enfin, plus exactement la luminosité de sa lampe. C’est elle, généralement exprimée en Lumens ANSI, et nous insistons sur la nécessité de la présence du ANSI dans la donnée de luminosité de la lampe fournie par le constructeur, qui va permettre de rendre au mieux le contraste (que nous verrons dans le point suivant) et de rendre l’image agréable y compris dans des conditions où la luminosité ambiante est forte.
Vous avez certainement déjà dû vous rendre compte à quel point il est difficile de distinguer une image, surtout à dominante sombre, un jour de plein soleil dans une pièce extrêmement lumineuse. Et votre image est d’autant plus terne que votre téléviseur est proche d’une fenêtre par exemple. C’est un souci que vous n’aurez bien évidemment jamais en soirée, une fois le soleil couché, toutes lumières éteintes dans votre salon. Il en est de même avec votre smartphone si vous n’êtes pas en réglage automatique de la luminosité de votre écran. En luminosité minimale, vous êtes à l’aise pour lire un article ou consulter votre fil d’actualité Facebook dans la pénombre de votre chambre mais vous ne verrez rien sur votre écran un jour de plein soleil en extérieur. Tout cela pour dire que la luminosité est importante car si vous souhaitez utiliser votre projecteur dans une salle de réunion en plein jour sans possibilité d’atténuer la lumière venant de l’extérieur, seule la puissance de la lampe vous permettra de rendre votre présentation visible aux yeux de votre auditoire.
Alors quelle puissance lumineuse choisir ? Il est difficile de répondre très précisément à cette question car cela est bien évidemment partiellement subjectif mais surtout fortement dépendant de votre usage et de votre environnement. Cependant, d’une manière générale faites le choix d’un vidéoprojecteur avec une luminosité minimale de 3000 Lumens ANSI si vous voulez pouvoir projeter dans des conditions de luminosité peu favorables, à savoir éclairée en plein jour par la lumière extérieure. À l’inverse, une luminosité comprise aux alentours de 1000 à 1500 lumens ANSI, peut vous donner entière satisfaction mais à la seule condition que vous vous contentiez d’un usage dans des conditions de pénombre voire de noir quasi-intégral, conditions plus courantes lors du visionnage d’un film en soirée par exemple.
Voyons à présent quels sont les différents types de lampes que vous pouvez trouver dans nos chers appareils…
La lampe UHP à mercure
La lampe est l’élément qui produit cette luminosité. Le type le plus courant est la lampe à mercure. Cette dernière possède des avantages et des inconvénients. Parmi eux, le coût corrélé à l’empreinte écologique. Ces lampes sont relativement coûteuses et doivent être remplacées relativement régulièrement pour un usage un peu intense. Leur durée de vie est comprise entre 3500 et 7000 heures en fonction de votre utilisation. En effet, la plupart du temps, vous bénéficiez d’un Mode ECO qui vous permettra d’économiser la lampe mais ne sera pas adapté à un usage dans une pièce éclairée. Sans cela vous vous situerez sur le bas de la tranche de sa durée de vie. Sans compter sur une perte significative de performance avec le temps, c’est-à-dire que sa luminosité sera de plus en plus faible au fur et à mesure que vous vous rapprocherez de la fin de sa vie. Il faudra également attendre un peu quand vous allez allumer votre appareil avant d’obtenir la luminosité optimale car elles nécessitent un temps de préchauffage. En revanche, comme vous l’aurez compris, l’avantage est que ces lampes se remplacent et offrent un bon niveau de luminosité quand elles sont au début de leur vie. La plupart du temps c’est grâce à elles que vous pouvez vous offrir un appareil à moindre coût.
La lampe à LED
Ensuite, il existe des lampes à LED beaucoup moins énergivores que ce que peuvent l’être les lampes UHP à mercure et offrant une bien meilleure durée de vie. Cette dernière est généralement comprise pour ce type de lampe entre 20 000 et 30 000 heures d’utilisation. En revanche, elles sont principalement utilisées sur les projecteurs de petite taille, les fameux picoprojecteurs, à cause de leur manque de luminosité, ce qui ne les destine pas à toutes les utilisations comme nous l’avons vu précédemment.
Le laser
Nous trouvons enfin un type d’éclairage apparu récemment sur le marché et proposé à présent par les plus grands fabricants de vidéoprojecteurs, le laser. Elle constitue aujourd’hui une technologie haut de gamme. En effet, elle permet d’atteindre des luminosités encore supérieures aux lampes à mercure tout en offrant la durée de vie d’une lampe LED soit entre 20 000 et 30 000 heures d’utilisation. Elle permet généralement de s’affranchir d’un ventilateur de refroidissement et donc de diminuer le niveau d’émission sonore de l’appareil mais aussi de maintenir la puissance d’éclairage optimale bien plus longtemps et elle ne nécessite pas le même temps de préchauffage à chaque démarrage de votre appareil. Grâce au laser, l’appareil peut en effet fonctionner quasi-instantanément avec des conditions optimales d’éclairage. En revanche, cette technologie est un peu plus coûteuse et est donc réservée aux appareils plus haut de gamme, dont les prix sont souvent situés au-delà des 1 000 €. Elle reste bien évidemment à privilégier si vous souhaitez un appareil pour une utilisation intensive, que vous allez placer dans un endroit difficilement accessible ou si vous souhaitez profiter d’une puissance d’éclairage suffisante afin de projeter avec un rendu optimal dans un lieu qui peut être amené à subir significativement l’incidence d’un éclairage extérieur.
Le rapport de contraste
Le rapport de contraste est lui aussi un des éléments à prendre en compte lorsque vous souhaitez acquérir un vidéoprojecteur. En effet, comme évoqué précédemment le rapport de contraste est l’élément qui permet de déterminer la profondeur de couleurs d’une image. Elle correspond à l’échelle de variations entre les zones les plus claires et les zones les plus sombres d’une image. Vous avez peut-être déjà été confronté en regardant un film, lors de la diffusion de scènes tournées dans des endroits peu éclairés, à des zones particulièrement sombres dans l’image et dans lesquelles vous ne parveniez pas à distinguer les détails. C’est la conséquence directe d’un niveau de contraste insuffisant, la capacité de l’écran dans ce cas-là ne permet pas de restituer les différences de tons dans les zones sombres. Il peut bien sûr en être de même dans les zones trop éclairées. Une image peu contrastée paraît terne. Si vous le pouvez, et ce surtout si vous prévoyez d’utiliser votre vidéoprojecteur pour la diffusion de vidéos et de films, privilégiez donc un niveau de contraste élevé.
Alors qu’est-ce qu’un contraste élevé ? La réponse à cette question ne se résume pas, à nouveau, au tout blanc ou tout noir… En effet, il faut déjà prendre en compte le fait que dans les fiches techniques vous allez trouver deux valeurs de contraste : le contraste natif et le contraste dynamique. Et si vous vous penchez plus sérieusement sur les fiches techniques vous verrez que vous aurez rarement les deux. Le risque est donc que vous n’ayez en votre possession que des données techniques qui ne sont pas comparables. Effectivement, le contraste dynamique n’est en réalité qu’un artifice. Il s’agit d’un iris qui, en s’ouvrant plus ou moins, régule la luminosité de votre image pour optimiser le rendu du contraste typiquement en baissant la luminosité sur les images sombres et inversement en l’augmentant sur les images claires. Alors, comment fait-on la différence ? Réponse : Avec les chiffres… En effet, un contraste de 100 000 : 1 n’est pas un contraste natif sur un vidéoprojecteur grand public et c’est bien ce dernier qui est de très loin le plus important. Comme vous allez vouloir des chiffres, un contraste natif compris entre 2000 à 4000 : 1 est un contraste très correct pour un usage qui peut aller jusqu’au cinéma. Alors ne tenez pas compte des valeurs totalement délirantes que l’on peut voir dans des fiches techniques et qui peuvent aller jusqu’à 2 500 000 : 1 ! Oui c’est du déjà vu ! C’est devenu un argument marketing et il vaut mieux se fier aux tests et faire confiance à des valeurs de contraste plus raisonnables.
Mais le contraste perçu de votre image ne sera malheureusement pas uniquement dépendant des performances de votre appareil mais aussi comme nous en avons parlé dans le point précédent de la luminosité de l’environnement de diffusion. Il est évident que si vous avez les rayons du soleil qui frappent directement la zone de projection de votre image, votre contraste va être sévèrement dégradé. Fatalement, vous pouvez aussi en déduire que la luminosité de votre lampe ou du système d’éclairage de votre vidéoprojecteur aura aussi une conséquence sur le contraste de votre image. Nous ne l’avons pas évoqué mais la qualité de réflexion de la surface sur laquelle vous projetez votre image va également jouer sur son rendu. Moralité, privilégiez le choix d’un écran et d’une configuration équilibrée entre les différentes caractéristiques.
La taille d’image et la distance de projection
Ensuite, nous avons la taille maximale de l’image que votre appareil peut délivrer, la distance qui le sépare de l’écran et le ratio de projection. Toutes ces données sont un peu liées car le troisième est le rapport du second sur le premier. Ainsi nous avons :
Ratio de projection = Distance de Projection / Taille de l’image
Heureusement, la flexibilité d’un vidéoprojecteur vient du fait que la plupart du temps le ratio de projection est réglable, un peu à l’image d’un zoom d’appareil photo. Le réglage des lentilles va permettre de grossir ou diminuer la taille de l’image projetée sans avoir à déplacer l’appareil. Inutile de préciser que le comparatif avec le zoom d’un appareil photo s‘arrête là car la latitude de réglage quand elle est possible est généralement comprise entre 1,1 et 1,6x, ce qui signifie que le ratio minimum est multiplié entre 1,1 et 1,6x pour atteindre le ratio maximum. Le deuxième niveau de flexibilité, quand on peut agir dessus, se trouve dans la distance à laquelle on place l’appareil de la surface de projection. On peut donc le reculer pour agrandir ou le rapprocher pour diminuer la taille de l’image. Le ratio de projection ou la fourchette de ratios permis par votre appareil dépend de sa focale, là encore comme pour un objectif d’appareil photo. On en distingue donc trois sortes : les focales courtes, classiques et longues. Et votre choix va se faire en fonction d’un critère principal… la configuration des lieux.
Prenons un exemple… Vous ne pouvez pas placer votre appareil loin de la zone de projection mais vous avez besoin d’une grande image car les membres les plus éloignés de votre audience seront loin de l’écran. Vous ferez alors le choix d’une focale courte, c’est-à-dire avec des ratios inférieurs à 1, afin d’avoir l’image la plus grande possible avec un appareil le plus proche possible de l’écran. Ils ne sont cependant pas les plus courants sur le marché mais certains sont même configurés de sorte à avoir des focales ultra courtes (avec des ratios inférieurs à 0,2) comme le Dell S718QL. Ces appareils sont alors posés directement au pied de l’écran et forment une superbe alternative à un écran de télévision. Dans le cas où vous avez la possibilité de reculer votre appareil et où vos besoins en termes de taille d’image seraient limités, vous pourrez vous tourner vers des appareils avec des focales longues, c’est-à-dire généralement avec des ratios de 2 et au-delà. Les focales qui sont comprises entre ces deux bornes seront les plus faciles à trouver car la majorité des vidéoprojecteurs sont équipés de focales standards dont les ratios de projection sont compris entre 1 et 2.
Comme évoqué précédemment, nous allons revenir sur la nécessité d’avoir un ensemble homogène. En effet, plus votre appareil sera loin de l’écran plus vous devrez attacher de l’importance à la luminosité de sa lampe. La distance influence négativement le rendu de l’image puisque plus vous vous éloignez de la source plus elle perd en intensité, et ce jusqu’à affecter le contraste dans le cas qui nous concerne. Enfin, n’oubliez pas de tenir compte de la résolution native de l’image. Vous vous êtes certainement aperçus que plus vous vous approchez d’un écran de télévision, plus vous voyez les défauts de l’image et, accessoirement, les pixels. En grossissant le trait volontairement, cela tombe sous le sens qu’un écran de 7 mètres de diagonale avec une résolution HD (720p) ne sera certainement pas très agréable à regarder à moins de 4 mètres. Il est donc nécessaire si vous avez besoin d’éloigner votre appareil et donc d’agrandir votre écran de vous orienter au minimum vers du Full HD (1080p). Pour les très grandes diagonales (supérieures à 5 mètres), dans un but de confort visuel pour vous et l’ensemble de votre auditoire, faites le choix de l’Ultra HD 4K (2160p) si votre budget vous le permet.
La connectique
Nous allons terminer cette section consacrée aux vidéoprojecteurs par la connectique. La connectique c’est ce qui va vous permettre d’exploiter votre appareil de manière optimale dans un maximum de circonstances et de le rendre compatible au mieux avec le matériel que vous possédez déjà.
Faisons le point sur l’indispensable à trouver selon nous sur un vidéoprojecteur…
Les ports HDMI
À l’image de ce que l’on peut rechercher sur un téléviseur, deux voire trois entrées HDMI peuvent s’avérer bien pratiques pour ne pas avoir à débrancher/rebrancher vos appareils en permanence. Là encore, c’est votre usage qui dictera votre choix mais c’est aujourd’hui le moyen de diffusion principal de l’image en provenance d’un ordinateur, lecteur Blu-Ray, amplificateur home-cinéma, tablette ou encore smartphone. N’oubliez-pas éventuellement de regarder leur compatibilité. Si au moins l’une d’entre elles est en version HDMI 2.0, cela ne sera que mieux pour le futur de votre appareil. Enfin, leur compatibilité avec des technologies comme le MHL servant à diffuser du contenu depuis des appareils mobiles peut s’avérer un plus.
Les ports USB
Une voire deux entrées USB peuvent s’avérer bien utiles pour vous permettre de lire directement vos contenus multimédia et présentations depuis une clé USB ou un disque dur. En revanche, veillez à bien vous renseigner en ce qui concerne les formats de fichiers reconnus par l’appareil si cet usage risque d’être pour vous un impondérable. Vous pouvez commencer vos recherches en vous rendant sur les sites des constructeurs ou en essayant de trouver les manuels au format dématérialisé par exemple. N’oubliez-pas que ce n’est pas parce qu’il y a une entrée USB que votre appareil pourra lire l’intégralité du contenu que vous lui fournirez. Si au moins l’un d’entre eux est équipé d’une fonction de recharge c’est un plus, pour l’utilisation d’un Fire TV Stick par exemple.
Une sortie audio
Que ce soit une sortie audio analogique 3,5 mm, une sortie RCA ou, dans une démarche d’optimisation de la qualité de signal, une sortie numérique S/PDIF, il est préférable de vous assurer de pouvoir extraire le son de votre appareil afin de le diffuser dans une qualité qui peut aller de correcte à excellente en fonction du système audio choisi et de votre niveau d’exigences. Nous vous conseillons donc de veiller à ce qu’au moins une de ces connectiques se trouve au dos de votre appareil.
Une entrée VGA
Même si la connectique VGA peut sembler aujourd’hui un peu dépassée, elle peut dans certains cas s’avérer bien utile afin de ne pas vous trouver dans l’incapacité de diffuser l’image d’un ordinateur équipé d’une carte graphique suffisamment ancienne pour ne pas posséder de sortie HDMI. Veillez également à avoir une entrée audio dans ce cas-là, afin de pouvoir directement profiter du système audio qui serait éventuellement connecté au vidéoprojecteur pour vos diffusions de contenu sonore. Dans le cas contraire, vous devrez faire le deuil de la bande son puisque le câble VGA n’est dédié qu’à la transmission d’un signal vidéo.
Fonctionnalité apparue plus récemment, un vidéoprojecteur peut être également équipé d’une connectique réseau voire d’une connectique réseau sans fil (Wi-fi). L’intérêt dans les deux cas est de ne plus avoir besoin de connecter l’ordinateur ou la tablette qui va vous servir de source de diffusion sur le vidéoprojecteur. Vous aurez uniquement besoin de vous assurer de connecter votre projecteur sur votre réseau internet personnel ou d’entreprise. Ainsi, il ne vous reste plus qu’à connecter l’appareil servant de source de diffusion sur ce réseau et ainsi via Airplay, ou un module complémentaire, afficher directement votre contenu. Concernant ces fonctionnalités, vous trouverez des appareils équipés de la connectique réseau Ethernet pour vous brancher en filaire et d’autres pour lesquels vous n’aurez que la fonctionnalité Wi-Fi, que ce soit d’origine ou via l’ajout d’un dongle USB. Dans ce dernier cas, il suffit simplement de se procurer le module complémentaire de réception du réseau sans fil et de le connecter sur un des ports USB de votre vidéoprojecteur afin d’ajouter cette fonctionnalité. Ceci est donc un élément à prendre en compte dans le nombre de ports USB disponibles si vous souhaitez bénéficier de cette fonction.
Vous avez maintenant presque toutes les cartes en main pour faire votre choix de manière éclairée. Afin de bénéficier d’un complément d’information concernant les éléments de la fiche technique d’un vidéoprojecteur qui pourraient être à prendre en compte dans votre achat, nous vous conseillons d’aller consulter notre article Les autres caractéristiques d’un vidéoprojecteur.
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